Akemi no sekai

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Une nouvelle vie ramassée sur le bord de l’autoroute, court texte · Pour le meilleur et pour le pire, court texte

SF SEX, court texte

Publié le 12/03/2018 dans Mes écrits.

Comme son nom l’indique, cette nouvelle porte sur la science-fiction et le sexe. Pas sûre que ça puisse donner quelque chose de cool. Encore un texte écrit pour rien.

Environ 18 minutes de lecture.


SF SEX

2123. Pour mes trente ans, j’ai l’honneur de faire partie de l’équipe qui va risquer sa vie à la surface. La Terre a été envahie par un groupe d’extraterrestres des plus effrayants qui, grâce au ciel, n’ont jamais trouvé notre planque souterraine située dans les sous-sols d’une bibliothèque municipale envahis de milliers de cartons d’archives.
Il y a quinze ans que cela s’est produit. Un jour où tout semblait aussi habituel et routinier que d’ordinaire, un vaisseau spatial immense s’est posé sur le Pentagone comme s’il s’était agi d’une simple piste d’atterrissage et en quelques heures à peine, la totalité du globe était occupée par des êtres humanoïdes dotés d’une intelligence hors norme, mais guidés par un instinct assez primitif. Ces êtres, voyez-vous, se nourrissent de liquide séminal et se multiplient grâce à lui. Il paraît que pour combler leur appétit ils ont kidnappé un grand nombre d’êtres humains et qu’ils les torturent – délicieusement, il semble – jusqu’à les faire jouir et évacuer un maximum de leur précieuse semence.

Je n’ai jamais vu ces créatures. Je n’ai pas eu l’occasion d’être confrontée à elles, mais mes parents les ont aperçus en action et ils ont été terrorisés. Les quelques individus qui ont pu échapper à leur contrôle et avec lesquels je survis ont trouvé un moyen pour ne pas nous faire repérer. Un seul moyen. Abandonner toute pratique sexuelle. C’est simple, le fait de sécréter le moindre liquide séminal les attire et nous met en danger. Il est donc proscrit de faire l’amour, de se donner du plaisir solitaire ou même de penser à le faire, ce qui excite la libido et entraîne inévitablement la présence de mouille ou de présperme chez les individus. Il est tout simplement interdit de penser au sexe ou de le pratiquer. Interdit.

Ce à quoi personne ne semble encore avoir pensé, c’est qu’à ce rythme, l’espèce humaine finira par disparaître complètement et que survivre dans ces conditions paraît vain. La moyenne d’âge de notre camp de survivants est de 42 ans. Ce n’est pas très encourageant. Dieu sait ce qu’il se passe ailleurs… Pourtant, chaque mois un groupe de volontaires sort au grand jour et part arpenter les rues de la ville à la recherche de provisions ou de médicaments au lieu de chercher un moyen de nous débarrasser des envahisseurs.

Il m’est déjà arrivé de penser au sexe, ou même d’imaginer comment cela peut se pratiquer avec un homme. Il y en a bien un qui me plaît, Gus, et j’aime à l’imaginer nu, mais je me refrène systématiquement et m’oblige à songer en contrepartie à la culture. Je me plonge dans ces livres mis à ma disposition pour oublier mon instinct. Je n’ai jamais eu le choix. Je n’ai jamais ressenti de plaisir sexuel, aucun, et je me sens triste d’en être privée. Bien sûr, c’est pour le bien de tous, pour nous permettre de survivre ; mais pourquoi faire ? Aujourd’hui, j’ai trente ans. C’est l’âge de raison. L’âge auquel nous sommes supposés penser posément et désirer protéger notre espèce de ces envahisseurs. C’est l’âge, dit-on, où l’on peut sortir et risquer notre soi-disant liberté pour rapporter des vivres aux nôtres. Alors j’y vais. C’est décidé. Je veux savoir ce qu’il se passe dehors. Je veux voir ces créatures extraterrestres qui terrorisent tout le monde. Je veux les voir et les affronter s’il le faut. Je veux permettre à mon peuple de se libérer pour de bon et surtout, de rattraper ces années perdues durant lesquelles de nombreux humains sont morts. Je veux être libre de fantasmer sur Gus…


Nous sommes cinq. C’est peu et c’est tout juste suffisant pour transporter assez de provisions pour un mois complet, mais voilà, lors de la dernière expédition, deux personnes se sont fait attraper et il n’y a plus assez de gens suffisamment rapides et forts. Nous sommes donc cinq, Gus, Katty, Jerrie, Hank et moi. Nous avons sorti le grand jeu, lunettes infrarouges et gilets par balles – récupérés sur les corps de militaires lors d’une de nos premières sorties fugitives – ainsi que protections de football américain à l’entrejambe afin de prévenir toute tentative de manipulation clitoridienne, vaginale, anale, du pénis ou des testicules de la part de nos ennemis. J’ai honte…

Nous commençons par sortir de la bibliothèque. À peine avons-nous ouvert la porte qu’une forte odeur nous prend à la gorge. Une odeur de transpiration, de poussière et de quelque chose que je ne parviens pas à identifier. Tout est désert, les immeubles sont abandonnés, détériorés, les éclairages publics sont éteints ou brisés. Tout n’est que désolation et silence.

— Qu’est-ce que c’est que cette odeur ? se plaint Jerrie.

— Ça sent la peur… répond Gus.

— Non, ça sent le sexe, réplique Hank.

— Mais qu’est-c’que tu dis !? s’emporte aussitôt Katty. Tu veux nous faire repérer !

Sa réaction me paraît exagérée. Ces simples mots ne peuvent attirer les extraterrestres jusqu’à nous.

— Retiens-toi et tout ira bien, lui lance Hank.

Il semble savoir de quoi il parle, après tout il doit avoir 50 ans ou quelque chose comme ça, il a déjà dû sentir l’odeur du sexe dans sa vie. Je remarque qu’il a baissé les yeux sur le short de Katty et lorsque j’y jette un œil également, je constate qu’elle a serré les jambes et que le tissu est humide par-dessus sa coquille de protection.

— Tu ne vas quand même pas te pisser dessus ! râle Jerrie.

Les joues de Katty virent aussitôt au rouge et elle tente de cacher son entrejambe avec ses deux mains.

— Ce n’est pas de la pisse… nous informe Hank.

Je vois que Gus écarquille les yeux tandis que Jerrie plaque sa main sur sa bouche. Ainsi Katty est excitée par cette sortie et elle mouille à l’idée de se faire capturer par ces créatures perverses. Je ne peux retenir mon rictus. Je savais bien que je ne devais pas être la seule à enfreindre la règle de ne pas penser au sexe. Il est impossible de s’en empêcher, surtout avec ce que les anciens nous ont raconté sur le sort que subissent les prisonniers des envahisseurs. Se faire masturber jusqu’à l’orgasme, il y a pire comme torture, non ? Je me sens quelque peu intriguée moi aussi.

— Bon, on ne va pas passer la journée ici, reprend Hank. On ferait mieux de se dépêcher de quitter le secteur de la planque avant qu’ils ne sentent la mouille de Katty.

Humiliée, Katty se met à sangloter tandis que nous courrons de l’autre côté de la chaussée en direction d’une épicerie fermée depuis longtemps. Les expéditions se font de plus en plus longues et lointaines. Toutes les sources de nourritures à proximité de la bibliothèque ont déjà été vidées par nos prédécesseurs. Lorsque nous arrivons à l’angle de la quatrième et de la cinquième avenue, nous tombons nez à nez avec l’une de ces créatures tant redoutées. Hank nous informe qu’il s’agit d’une sentinelle tout en actionnant le mécanisme de son arme automatique. J’ai tout juste le temps de constater qu’il ne s’agit pas d’un être humanoïde comme je le pensais, mais d’un robot assez semblable à un aspirateur sauf qu’au lieu d’un tuyau, il en possède plusieurs paires. Le vétéran qui nous accompagne ne perd pas une seconde avant d’exploser sa carcasse métallique, répandant diverses sortes d’huiles sur le macadam.

Notre groupe s’éloigne rapidement du lieu du carnage avant qu’une demi-douzaine d’autres extraterrestres n’arrivent sur place, attirés par le bruit de la mitrailleuse. Accroupis derrière un vieux conteneur à ordures, nous observons la scène avec stupeur. L’un d’eux, pourvu de divers tentacules lisses, ramasse les morceaux de son ancien compagnon en poussant un râle d’agonie inquiétant. Je m’imaginais que ces créatures n’étaient que des androïdes pervers, mais il semblerait que ceux-ci soient affligés par la perte de leur camarade.

— Dégageons de là, suggère Jerrie à mi-voix, on n’a pas encore récupéré la moindre marchandise.

Hank l’intime au silence au moment où la créature se redresse et se tourne dans notre direction. Nous retenons tous notre souffle. Se pourrait-il qu’elle ait entendu la voix de Jerrie ? Lorsqu’un gargouillement retentit à quelques mètres derrière nous, nous comprenons qu’un autre extraterrestre arrive par là. Hank plaque un index en travers de ses lèvres tout en se tapissant davantage derrière la benne. Je regarde mes compagnons en me demandant si c’est la dernière fois que je les voie. Le vieil homme est effrayé et peu confiant, et son mal-être se ressent aussi chez Jerrie. Gus transpire et respire de plus en plus fort. Katty est en larmes, mais elle n’émet aucun son. Je suppose que ma mine ne doit pas être davantage réjouissante que la leur. Tandis que je resserre la prise de mes bras autour de mes genoux et commence à regarder le ciel pour prier, j’aperçois un tentacule apparemment siliconé qui se glisse derrière le conteneur. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il se faufile déjà entre les cuisses de Katty qui se fait aussitôt happer en arrière dans un long hurlement. Les garçons se sont relevés, ils ont sorti leurs armes et regardent autour de nous d’un air affolé, mais moi, je n’arrive pas à paniquer. Je suis restée bloquée sur l’image de ce membre extraterrestre lisse et luisant qui s’est glissé entre les cuisses de Katty, contre sa peau humide de mouille. Je suis obnubilée par la vision de ce tentacule flexible qui s’est pressé contre elle en relevant sa coque de protection. Je jurerai qu’en soulevant Katty jusqu’à lui, il a enfoncé un autre tentacule sous le tissu de son short.

— Gus, occupe-toi de Nel ! Jerrie et moi allons ramener Katty !

Hank et Jerrie se ruaient déjà à la poursuite de notre assaillant quand Gus se tourne vers moi.

— Reste près de moi Nel, il ne faut pas qu’ils nous trouvent.

— C’est trop tard Gus…

Le cri de Katty a effectivement attiré le groupe de créatures occupé à examiner la dépouille de leur compagnon. Gus et moi sommes encerclés par trois d’entre eux. Les autres pourchassent Jerrie et Hank.

— Cette sortie est un fiasco total, se lamente Gus. On est fichu…

Comme s’il abandonnait toute idée de résistance, il écarte les bras en laissant tomber son arme et des tentacules s’enroulent aussitôt autour de ses pectoraux. Je m’avance vers lui en titubant et est retenue par le même genre de membres dynamiques. Leur texture lisse et glaciale contre ma peau me fait frissonner. Impuissante, je me retrouve suspendue à quelques centimètres au-dessus du sol, les jambes écartées et les bras en croix, face à mon compagnon aussi désarmé que moi.

— Et maintenant ?

— Ils vont nous torturer pour obtenir ce qu’ils veulent, répond Gus en tremblant.

Mon corps est aussi secoué de petits spasmes. Des spasmes d’excitation. Je crois que Gus est dans le même état que moi en fin de compte. Il trépigne d’impatience. Que vont-ils nous faire ? C’est ce que je me demande. Leur apparence n’est pas rebutante, et leur toucher est plutôt doux. Je me sens excitée rien qu’à l’idée d’être retenue prisonnière par eux, dans cette position, face à celui qui me fait tant envie. Pour la première fois depuis quinze ans, j’ai le droit de laisser mon imagination et mon excitation prendre le dessus sur ma raison puisque de toute façon, je suis aux mains – ou plutôt aux tentacules – des extraterrestres. Alors que je sens le coton de ma culotte s’imbiber de mon excitation, un robot plus petit que ceux que nous avions vus jusque-là se poste entre Gus et moi et se met à découper les vêtements de mon compagnon. Je remarque qu’à la place des bouts arrondis et lisses, ses tentacules sont pourvus d’instruments qu’il peut changer à volonté. Je le regarde transformer ses ciseaux en plumes et les passer doucement sur le torse nu de Gus. Celui-ci gémit et gesticule tant bien que mal. Il ferme les yeux. J’essaie de me pencher un peu sur le côté pour voir ce que le robot est en train de lui faire, et comme s’il l’avait remarqué, celui-ci se décale sur le côté et m’offre la vision du corps complètement nu de Gus. Son pénis est dressé à l’horizontale. Il est impressionnant. Avoir les jambes écartées par mon geôlier commence à devenir une torture. Je sens que je mouille de plus en plus. Le petit androïde change une fois de plus son instrument, et tandis qu’il glisse le sexe de Gus à l’intérieur de son extrémité devenue une sorte de poche, un long tentacule luisant s’enfonce directement dans son anus. Gus pousse un cri de douleur mêlé à un gémissement de plaisir. Il a les yeux fermés, il semble gêné, mais prend apparemment du plaisir. Le robot entame un va-et-vient plus ou moins régulier, décalottant parfois le gland du pénis de Gus qui gémit de plus en plus fort. À l’arrière, le long tube de silicone glisse généreusement en lui. Un bruit de succion vient se mêler aux soupirs et aux geignements de mon camarade. Je ne me tiens plus. J’aimerais aussi ressentir cela !

— Gus… Gus, regarde-moi !

Je veux qu’il me regarde, qu’il me transmette ces sensations intenses.

— Gus !

Un nouveau membre du petit robot masturbatoire sort de nulle part pour forcer les paupières du jeune homme à se soulever. Ses yeux sont humides et flottent dans un autre univers. Il prend un plaisir notable. Je ne peux tout de même pas implorer de recevoir ma part…

Alors que son plaisir semble arriver à son paroxysme, Gus se tord de plus en plus et le robot se penche en avant et, cavité grande ouverte, il avale le pénis palpitant de l’homme. Il le suce, l’aspire et le lèche jusqu’à ce que, à travers ses parois transparentes, je voie le liquide blanchâtre se répandre de manière désordonnée dans le mécanisme de la créature. Gus vient de jouir dans la gueule d’un robot extraterrestre !

Le tentacule enfoncé dans son cul se retire d’un coup, brutalement, son extrémité lubrifiée claquant dans l’air comme un fouet. Gus n’a pas le temps de se remettre de ses émotions qu’une nouvelle fois, les différents instruments du petit robot s’évertuent à l’émoustiller. Ils lui pincent les tétons, lui massent les couilles et les lui embrassent. Ils lui palpent doucement la prostate ou appuient dessus. Bref, la bête veut une deuxième ration. Gus ne résiste plus du tout à la prise que les créatures ont sur lui. Il est à moitié comateux et pend au bout de ses liens bioniques comme s’il était mort. Son pénis ne tarde pas à se tendre de nouveau et son corps à recommencer sa chorégraphie saccadée.

Alors que je me dis que je ne pourrais supporter de voir à nouveau ce spectacle, un large tuyau se glisse entre mes cuisses. Je repense à l’image que j’ai eue de Kitty lorsque cela lui est arrivé. Je repense à sa coquille de protection qui se soulève au moment où la mienne est poussée contre mon ventre. Je sens le tissu de mon pantalon s’enfoncer entre mes lèvres alors que celui de ma culotte, trempée, est déjà pincé entre elles. Le tentacule appuie doucement sur mon clitoris. Il sait ce qu’il fait. Ces créatures s’y connaissent en anatomie humaine. Elles savent parfaitement ce qu’il faut faire pour faire jouir un humain. Soulagée que mon tour arrive enfin, je m’abandonne aux caresses et aux explorations de ces objets phalliques lubrifiés par ma propre mouille. Je les attends, avec envie. Deux nouveaux membres flexibles se glissent sur mes épaules et descendent le long de ma poitrine, leurs extrémités pointues titillant mes tétons avec acharnement. Je les sens durs et dressés, et ils me font mal, mais j’aime tellement ça. Celui qui me masturbait se retire en arrière et me pénètre le cul sans cérémonie. C’est douloureux également, et je ne ressens aucun plaisir à cette pénétration jusqu’à ce qu’un autre de ces sex-toys géants me prenne par-devant. Je les sens se frotter l’un contre l’autre à l’intérieur de mon corps avec pour seul obstacle la fine muqueuse de mon vagin. Ils s’activent fébrilement, de plus en plus loin et de plus en plus fort, mais je sens qu’il me manque encore quelque chose. Bien que je ne contrôle plus du tout les spasmes de mon corps ni les couinements remontant du fond de ma gorge, je n’arrive pas encore à jouir. J’en ai pourtant tellement besoin. Je hurle. Je hurle à en perdre la voix. Je ne cesse de hurler et pour me faire taire, un tentacule plus gros s’enfonce dans ma gorge et m’oblige à le sucer en forçant le passage entre mes lèvres pour sortir et revenir à sa guise. C’est excitant, je me dis que ce pourrait être le pénis de Gus, mais ce n’est pas suffisant. Les larmes ont commencé à couler sur mes joues. Plus, j’en veux plus… Mais comment le leur faire comprendre.

J’essaie de me débattre, je contracte mes cuisses et mes fesses, et cela accroît la puissance de la pénétration des deux tentacules qui s’agitent en moi. Alors que je sens que ça monte un peu plus en moi et que mon esprit s’égare complètement, l’un d’eux – celui de devant – s’arrache à moi. J’essaie de crier, de lui dire non, mais c’est impossible. Un robot similaire à celui qui s’est occupé de Gus s’approche alors de moi. Au bout de son long membre, il dispose d’une large série de pics qui ont l’air mous, mais mesurent au moins un centimètre. Il les agite devant mes yeux avant de les enfoncer brutalement dans mon vagin. Je jouis aussitôt. Perdue, je laisse mon corps se cambrer et ma voix s’étouffer autour de celui que je suce. De la bave séminale coule entre mes jambes, et le robot s’en délecte. Il avale jusqu’à la dernière goutte en léchant goulûment ma peau. Je suis soulagée et repue en quelque sorte, mais lui non. Il remonte jusqu’à mon entrejambe et enfonce une langue rugueuse et démesurément longue en moi. C’en est trop… Ses autres jouets sont toujours là, ils sont toujours actifs et ne semblent jamais vouloir s’arrêter. Le robot ressort sa langue et se met à me lécher le pubis, à grandes lampées, puis il insiste sur le clitoris qu’il s’amuse à tourner et à triturer, et il recommence son jeu sans fin, léchant et titillant tout en lapant les gouttes de mouille et d’urine qui coulent involontairement de mon corps. Je jouis pour la sixième fois lorsque je m’évanouis avec pour dernière vision fugitive la nouvelle fellation féroce à laquelle Gus a droit.


Ah oui… Je ne sais pas d’où je la sors celle-là ! Il paraît que les objets falliques extraterrestres ou les tentacules de poulpes et autres animaux marins inquiétants peuvent exciter certaines personnes. J’ai déjà vu ça dans des hentai (manga érotiques) ou dans des films japonais complètement fous comme Blue girl, où une fille ninja affronte des monstres pervers spécialisés dans les sévices sexuels (c’est sans doute de là que m’est venue l’idée de cette nouvelle en fin de compte).

Au niveau de l’écriture, c’est sensiblement identique aux précédents textes érotiques que j’ai écris. Ils datent tous à peu près de 2014, il n’y a pas eu grande évolution entre chacun.