Akemi no sekai

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À propos
Romance et piraterie · Frayeur nocturne, court texte

Tranche de vie et dystopie

Publié le 26/06/2022 dans Lectures.

Petit topo sur mes deux dernières lectures.

Diabolo Fraise de Sabrina Bensalah

Résumé

couverture du livre diabolo fraise représentant un sorbet à la fraise sur fond rose.

C’est l’histoire de quatre sœurs, âgées de 11 à 18 ans, qui grandissent, sont confrontées aux expériences de la vie, et essaient de se trouver une place et une identité.

Ce que j’en pense

Points positifs

Points négatifs

Conclusion

Pour définir ce roman je dirais « tourbillon de la vie ». La lecture nous emporte dans une sorte d’ouragan émotionnel. C’est un excellent bouquin.

Hunger Games, la ballade du serpent et de l’oiseau chanteur de Suzanne Collins

Je me suis lancée dans cette lecture pour voir comment l’auteure alliait la description d’un monde – et l’introduction de concepts complexes et d’un personnage important pour la suite, puisque je savais que le héros de cette histoire apparait comme un ennemi des héros des suivantes –, avec une romance. J’espérais apprendre les ficelles pour pouvoir, moi-même, doser l’équilibre dans Samare.

Résumé

couverture du livre hunger games avec un oiseau et un serpent sur fond vert.

Corionalus Snow est étudiant à l’Académie du Capitole. Soucieux de maintenir la réputation glorieuse de sa famille, alors que plus rien ne va, il tente de se démarquer lors des Hunger Games organisés en souvenir de la guerre. Il est en effet désigné mentor et doit tout faire pour que son tribut, une jeune fille du District Douze, reste la seule survivante.

Ce que j’en pense

Points positifs

Points négatifs

Conclusion

Je ne suis pas emballée, je ne lierai sans doute pas la trilogie des Hunger Games qui nous remontre Coryo en tant que haut placé du Capitole.

En ce qui concerne l’approche pour associer présentation du monde et histoire d’amour, c’est assez décevant, surtout à cause de la tournure que prend la romance. Et je trouve cette dernière trop effacée, ce qui nous fait perdre la dimension tragique et dramatique des décisions du héros à la fin du roman.


Je garde la tranche de vie sous le coude, pour mes vieux jours, et je laisse tomber la dystopie trop brutale et nauséabonde. Je n’aurais sans doute pas besoin de lire ce genre d’horreurs dans le futur, car le monde sera assez infernal comme cela. Il ne me reste plus qu’à écrire quelque chose de doux et de beau dans Samare.